Hier soir en allant au resto avec la Bernie's family, un attroupement sur la Place Carnot devant le bar "Le Carnot"
Des flics, des urgentistes du SAMU, le Député-Maire Perez et bien d'autres encore....
Prise d'otages en direct depuis 19h par un homme armé d'un pistolet à grenaille.


Il était 19 h, hier soir, lorsqu'un homme armé d'un revolver s'est retranché dans le café Le Carnot, sur la place du même nom, dans le centre-ville de Carcassonne. Selon les premiers éléments, tout est allé très vite. "On était assis en terrasse quand il est arrivé, raconte un témoin. Il était agressif et insultait tout le monde. Il s'en est pris aux patrons qui lui demandaient de partir. Puis lorsqu'il a vu les policiers arriver, il a sorti une arme et s'est retranché dans le café. Les policiers nous ont hurlés de dégager. Tout le monde est parti en courant. Lui, il était à l'intérieur avec Nicole et Marc Camus, les patrons, leur fils Max et le serveur, Morgan Pena".

Les otages à la cave
Sur la place, c'est la panique. En quelques minutes, une vingtaine de policiers nationaux et une dizaine de policiers municipaux instaurent un périmètre de sécurité. À l'intérieur, des policiers tentent de calmer le forcené. Mais il ne veut rien entendre et menace de se tirer une balle dans la tête. Craignant pour les otages, les forces de l'ordre utilisent le taser, un pistolet à impulsion électrique. Le forcené riposte et tire deux coups de feu. Par chance, il ne blesse personne. Profitant de ce moment de panique, les quatre otages réussissent à se réfugier au sous-sol du café, où ils s'enferment.

Négociations et GIPN
Derrière le cordon de sécurité, la tension monte. Les témoins racontent que l'homme est Karim Chibani, un Carcassonnais de 41 ans (lire ci-dessous). Plus tôt dans la soirée, il avait déjà fait le tour des bars de la place, en agressant tous ceux qui se trouvaient sur son passage. Son état d'excitation et son incohérence laissent penser qu'il était sous l'emprise de la drogue et de l'alcool. Face à l'urgence, et en attendant que le GIPN, qui devait venir de Marseille par hélicoptère, les policiers tentent de négocier avec le forcené. En vain. Ils font venir son frère et son amie pour le convaincre de se rendre. En vain. Les policiers maintiennent la pression, comptant sur le temps et l'épuisement du forcené.

Enfin, après quatre heures d'attente, Karim Chibani a un moment d'inattention qui permet aux policiers de le maîtriser. Il est immédiatement conduit au commissariat. "Les policiers ont profité d'un défaut de vigilance pour le maîtriser", confirme Antoine Leroy, le procureur de la République. Et d'expliquer son geste : "Il avait été condamné en 2010 et avait purgé sa peine. Depuis il était suivi par le juge d'application des peines. Mais il venait de recevoir une convocation parce qu'il ne respectait plus ses obligations. Craignant de retourner en prison, il exigeait des garanties de ne pas être incarcéré". Hier à 22 h 30, le calme était revenu place Carnot. Mais de nombreuses questions restaient en suspens.

Source: www.lindependant.fr


Quelques photos prises hier soir avec mon portable:




Au moment de la photo, ils étaient déjà dans la cave...

pfff le truc de fou!!

il y a plus d'animation à Carcas qu'au Pas de la case , il y a des tarés partout

Ouais, et tu sais que au Pas de la Case il y a quelque temps une vendeuse en bijoux c'est fait tazer et frappé ! Du jamais, des flics de partout, la douane bloqué, élico, voiture de flics partout, truc que fou !

ils sont pas tous enfermer , la justice a qu a etres plus cevere !!!

seb-sand a écrit:

la justice a qu a etres plus cevere !!!

C'est exactement ça le problème, combien de multirécidivistes sont libre ?

Trop...